Catégories : Femmes fessées
il y a 8 ans
Elle se réveilla tôt ce samedi matin. Elle avait dû mettre le réveil car elle ne voulait pas être en retard. Le jour était levé, c'était une belle journée. Mais elle ne se sentait pas en forme. Elle avait très peu dormi cette nuit-là. Au début trop nerveuse pour trouver le sommeil, et puis lorsque les ténèbres avaient enfin fini par l’engloutir, son sommeil avait été beaucoup trop agité pour être réparateur.
Elle posa un pied par terre et se dirigea vers la cuisine où elle avait programmé la cafetière. La pièce sentait bon le café chaud. Elle s’en servi un bol et se prépara quelques tartines de pain et de confiture. Elle se sentait mal à l’aise et n’arrivait pas à avaler quoi que ce soit de solide.
Après avoir terminé son café, elle se dirigea vers la salle de bain où elle avait besoin de prendre une bonne douche pour essayer d’y voir un peu plus clair. L’eau chaude qui ruisselait sur son corps lui faisait du bien. Elle commençait à se détendre, peu à peu. Sans s’en rendre compte, ses mains commencèrent à caresser doucement son sexe. Ses doigt trouvaient leur chemin sur son clitoris, puis entre ses lèvres… mais avant que le plaisir ne l’emporte elle réalisa qu'elle perdait trop de temps et qu'elle risquait d’être ne retard. Il ne le fallait pas, il ne lui pardonnerait pas.
Elle sortit précipitamment de la douche, enfila son peignoir et coiffa ses cheveux. Pas le temps de faire un brushing ce matin, elle resterait avec ses cheveux bouclés. Elle se dirigea vers la chambre et ouvrit l’armoire. Que mettre? Pas le temps de réfléchir, elle attrapa un jean et un chemisier blanc qu'elle enfila en vitesse. Pas le temps de se maquiller. Elle ferma la porte de l’appartement et se dirigea vers le parking. Pourvu qu'il n’y ait pas d’embouteillage… elle avait tout juste le temps de rejoindre l’aéroport de Roissy avant que son avion n’atterrisse.
Par chance, le trafic était très calme ce jour-là, même sur le périphérique. Il fallait juste qu'elle fasse attention à ne pas dépasser la limitation de vitesse, il y avait des radars automatiques disséminés un peu partout sur son trajet. Elle repensait au cours des événements de ces derniers jours. Pourquoi avait-elle tant douté de lui ? Il était parti pour Bâton-Rouge il y a une dizaine de jours et ne n'avait donné aucune nouvelle durant les trois premiers jours. Elle avait pensé qu'il ne tenait plus à elle, qu'il était indifférent, qu'il ne voulait plus entendre parler d’elle... Aussi le quatrième jour, quand il avait enfin essayé de la joindre, elle s’était refusée à lui répondre.
Les jours suivants, à chaque fois qu'il réitérait ses appels, elle continuait à faire la sourde. Les messages qu'il laissait sur son téléphone étaient de plus en plus inquiets. Aussi le septième jour elle s’était enfin décidée à prendre l’appel. Si, sur le coup, il avait été soulagé de l’entendre, il était vite devenu furieux lorsqu'elle lui avait expliqué les raisons de son silence. Il avait parlé de décalage horaire, de téléphone déchargé, de l'oubli de son adaptateur à la maison, pour justifier son silence des trois premiers jours. Mais pour elle, il n'y avait aucune excuse. Elle s'était mal comportée et il était hors de lui. Il lui avait expliqué qu'elle recevrait une fessée magistrale quand il reviendrait, une fessée comme jamais il ne lui avait encore donné. Au souvenir de cette discussion, elle sentit une forte tension ressurgir en elle.
Lorsqu'elle arriva à l’aéroport, elle se précipita dans le hall des arrivées et consulta les écrans. Son vol était arrivé avec 20 minutes d’avance. Inquiète, elle scrutait le hall pour essayer de le trouver, mais il y avait tellement de monde qu'elle n’y parvenait pas. Soudain, elle sentit un bras s’enrouler autour de ses épaules. Un baiser atterrît sur son cou.
« Où étais-tu ? » demanda-t-elle, surprise.
« Je t’observais » lui répondit-il avec un demi-sourire…
Elle plongea dans son regard. Elle était heureuse de le revoir, il lui avait tellement manqué. Il l’embrassa tendrement.
« Tu as les clés de la voiture? Je vais conduire »
« OK »
Ils se dirigèrent vers le parking en sous-sol. Arrivés au niveau de la voiture, il lui saisit le bras, déboutonna son jean et enfoui, d’un geste propriétaire, deux doigt dans sa culotte.
« Mais tu es toute mouillée! » lui susurrât-il d’un air amusé.
« Décidément, je te laisse 10 jours et tout doit-être remis au carré là-dedans » dit-il en touchant son front du bout de l’index.
Elle éclata de rire. Elle aimait ses drôles d’expressions. Comment voulait-il mettre les choses au carré dans une tête toute ronde?
Ils montèrent dans la voiture et regagnèrent l’autoroute qui les reconduisait à la maison. Comme à l’aller, il n’y avait toujours pas de circulation et le trajet fût rapide. Malgré les quelques questions qu'il lui posait pour engager la conversation, elle restait silencieuse. La tension augmentait au fur à mesure qu'ils se rapprochaient de la destination.
Arrivé à l’appartement, il ouvrit la porte et la laissa entrer. Au moment où il s’apprêtait à refermer la porte, elle enlaça son dos et commença à l’embrasser dans le cou.
« Non, mademoiselle, nous avons des choses à régler avant ça… », lui dit-il d’un ton calme mais ferme.
Vexée, elle recula d’un pas et entrepris d’enlever son manteau et ses chaussures, qu'elle laissa distraitement traîner dans l’entrée. Elle entendit un soupir derrière elle.
« Viens ici !» lui dit-il en lui saisissant le bras et en l'entraînant dans le salon.
« Tu sais pourquoi je suis contraint de te punir ? » lui demanda-t-il en plongeant son regard dans le sien.
Elle fit un petit signe d’assentiment mais ne parvenait pas à prononcer un mot. Une boule s’était formée dans sa gorge.
« Pardon ? »
Avec effort, elle finit par articuler un petit « oui » timide. Elle avait mal à l’estomac et sentait ses joues rosir.
« Va au coin et réfléchit à ton comportement de ces derniers jours ! » dit-il en désignant du doigt un coin de la pièce.
Elle le fusilla du regard. Elle détestait aller au coin et il le savait parfaitement. Non seulement c’était humiliant mais également tellement ennuyeux! Cependant, ne voyant pas d'autres solutions possibles, elle s’exécuta alla se placer à l’endroit désigné.
« Mains sur ta tête ! »
Le ton qu'il avait employé était tellement sec qu'elle sentit des frissons la parcourir des pieds à la tête. Curieusement, une certaine excitation renaissait également au sein de son intimité. Elle en fût un peu honteuse.
Alors qu'elle attendait là, bêtement, il entreprit de se mettre à l’aise, de troquer son costume de travail pour une paire de jeans et le polo noir qu'il affectionnait tant. Cette fois, il avait décidé faire durer sa pénitence. Il fallait, une bonne fois pour toute, qu'elle comprenne qu'elle devait avoir confiance en lui et en ses sentiments. De temps en temps, il passait une tête dans le salon pour s’assurer qu'elle était toujours en position. Quand il la surprenait à tourner la tête pour le regarder, il la sermonnait vertement :
« Regarde le mur, compris, je ne veux plus te voir tourner la tête ! »
Il observait alors ses épaules s’abaisser légèrement, ce qui le faisait sourire intérieurement. Au bout d’une quinzaine de minutes, il prit la décision de passer à l’étape suivante de la punition. Il s’assit sur le canapé et lui ordonna de venir lui faire face.
« Baisse ton pantalon et ta culotte, je les veux à tes genoux ! »
Son cœur fit un bond. Non, ça elle ne pouvait pas le faire. Elle se mordit les lèvres mais ne fit pas un geste.
« Si tu préfères que je le fasse, ça va te faire encore plus mal, je te préviens ! » dit-il calmement.
Hésitante, elle finit par capituler et faire ce qu'il lui avait demandé. Ainsi dénudée, elle aurait voulu entrer dans un trou de souris tellement elle avait honte.
« Bien ! Maintenant dis-moi pourquoi tu mérites cette punition ».
Elle respira profondément pour essayer de calmer les palpitations de son cœur et répondit timidement.
« Parce que j’ai douté de toi et que je me suis vraiment mal comporté envers toi ».
« Pour cela, je t’ai promis que cette fessée serait magistrale, n’est-ce pas? »
« Oui »
« Tu vas recevoir une fessée à la main et à la brosse, et après tu recevras la ceinture. Tu as bien compris ? »
Elle fit à nouveau un signe d’assentiment, un petit « oui » franchit ses lèvres. Elle avait les yeux larmoyants mais il voyait bien qu'elle se faisait v i o l ence pour ne pas laisser échapper une larme.
« Bien, alors retourne au coin ! »
Elle soupira, elle aurait préféré que la fessée commence tout de suite, que tout cela se termine au plus tôt. Sa démarche entravée par ses jeans aux genoux était ridicule. Elle avait vraiment honte. Pendant qu’elle attendait, obéissante, il alla chercher sa brosse à cheveux dans la salle de bain et la déposa sur le rebord du canapé. Il y reprit place et l’appela.
« Allez viens »
Soulagée, elle se dirigea vers lui, de sa démarche de canard.
« Déshabille-toi complètement! » lui ordonna-t-il.
Elle s’exécuta. Jeans, culotte, chemisier, soutien-gorge, tous ses vêtements reposaient maintenant sur le sol à côté d’elle. Elle vint se placer à son côté et il l’aida à basculer sur ses genoux. Sa tension était extrême.
Sans plus attendre, les claques commencèrent à tomber, d'entrée très fortes. C’était une punition, "magistrale" comme il l’avait qualifiée. Rapidement, elle eut du mal à respirer calmement. Elle haletait, mais serrait les dents. Dans son derrière, la sensation de brûlure montait crescendo. Elle essayait de refouler les larmes qui lui montaient aux yeux et agrippait de toutes ses f o r c e s les chevilles de son t o r t i o n n a i r e pour empêcher ses mains d'atteindre la zone d’impact. Le bruit des claques résonnait dans tout l’appartement.
Au moment où elle pensait ne plus pouvoir se retenir et éclater en s a n g lots, la fessée cessa. Surprise, elle jeta un rapide coup d’œil en sa direction et aperçut la brosse qu'il venait de saisir. Malgré la chaleur qui irradiait ses fesses, elle sentit à nouveau les frissons la parcourir. Elle savait que la fessée allait reprendre plus durement et qu'elle en garderait des traces quelques jours durant. Effectivement, la tempête repris son court, plus dure mais heureusement un peu plus lente. Malgré la douleur aiguë que chaque coup lui faisait ressentir, elle arrivait à reprendre un peu sa respiration. Quand la douleur fût plus forte que ce qu'elle pensait ne pouvoir supporter, elle tenta vainement de protéger ses arrières avec la main droite, mais cette dernière se trouva vite immobilisée au milieu de son dos. Il était implacable et ni ses gémissements, ni le mouvement désordonné de ses jambes n’y changerait rien.
« Lève-toi !»
Elle obéit avec soulagement. Ses joues étaient aussi rouges que ses fesses et ses yeux remplis de larmes. Il la contempla et eu soudain une irrépressible envie de la prendre dans ses bras. Il se sentait tellement désolée pour elle. Mais il ne le pouvait pas. Il lui avait promis une punition magistrale et il se devait de tenir promesse. Elle devait comprendre la leçon, pour son bien comme pour le sien. C’est donc à regret qu'il lui ordonna de se pencher sur l’accoudoir du canapé tandis qu'il débouclait sa ceinture.
Lorsqu'elle entendit le glissement si caractéristique du cuir à travers les passants, elle se releva brusquement et le supplia :
« Je t'en prie, c'est assez. J’ai compris la leçon. Je ne recommencerai plus jamais, je te le promets!»
« Chut… remet-toi en position. Tu vas recevoir 20 coups de ceinture mais ce n'est pas la peine de compter. Par contre, si tu bouges, je serai obligé d’augmenter la punition. Tu as bien compris? »
« Oui » dit-elle avec des s a n g lots dans la voix.
Le serpent de cuir entreprit alors son ballet. Chaque morsure lui arrachait un cri. Elle ne pouvait pas s'en empêcher comme elle ne pouvait pas retenir les larmes qui coulaient de ses yeux à grands flots maintenant. Lorsque le dernier coup fût donné, elle hoquetait. Toute sa résistance était brisée. Il s’assit à côté d’elle et commença à lui caresser doucement la tête, jusqu'à ce qu'elle se calme. Il lui parlait gentiment, doucement, calmement. Elle n’était pas en mesure de comprendre ce qu'il disait mais, petit à petit, le ton de voix réussit à la bercer et à la calmer. Elle se releva et il la prit dans ses bras pour une longue étreinte.
« Ça va ? »
« J’ai mal » dit-elle, en touchant avec précaution ses fesses endolories, mais elle lui souriait tendrement.
« Viens »
Il lui prit la main et l’entraîna vers la salle de bain où il lui demanda de se courber au-dessus du lavabo. De ses mains expertes, il massa légèrement ses chairs brûlantes avec une lotion hydratante. La fraîcheur de la lotion, la douceur de ses doigts … elle sentit une vague de désir monter brusquement en elle… ce dont il ne mit pas longtemps à s’apercevoir! Il baissa rapidement son jean et son boxer, libérant enfin son sexe en érection que le jean martyrisait depuis un bon moment. Elle se frotta frénétiquement à lui mais au moment où il voulut pénétrer ce sexe suintant de désir, elle agrippa doucement sa verge.
«Non, pas par-là, je veux que tu me prennes plus étroitement, plus profondément» lui susurra-t-elle en écartant doucement ses fesses…
Il était de ces hommes qui marquent une vie et elle l’aimait.
Amandine
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